14 octobre 2010
25 septembre 2010
29 mars 2010
Sonnet CVI, Shakespeare
Dans la chronique des temps perdus
J'ai vu les belles choses mortes
Et la beauté en rimes anciennes
Qui chantait les Dames endormies
Et l'éloge des preux chevaliers
Sur l'écusson de la beauté
Métal sur métal
Mains et pieds,
Les lèvres, et les yeux
Et ce front ou se dessinait
Le signe secret des Anciens
Cette beauté que vous maniez
Aujourd'hui de taille et d'estoc
Au fil des batailles et des prophéties
Est-elle de votre temps ?
Et l'œil voit, sur le fil de l'épée
L'absence des maîtres chanteurs
Au temps des héritiers
Qui ne savent plus chanter
Qui ont des yeux pour rêver
Mais plus le goût de la prière.
Skakespeare (Traduction et adaptation Tristan Ranx)
J'ai vu les belles choses mortes
Et la beauté en rimes anciennes
Qui chantait les Dames endormies
Et l'éloge des preux chevaliers
Sur l'écusson de la beauté
Métal sur métal
Mains et pieds,
Les lèvres, et les yeux
Et ce front ou se dessinait
Le signe secret des Anciens
Cette beauté que vous maniez
Aujourd'hui de taille et d'estoc
Au fil des batailles et des prophéties
Est-elle de votre temps ?
Et l'œil voit, sur le fil de l'épée
L'absence des maîtres chanteurs
Au temps des héritiers
Qui ne savent plus chanter
Qui ont des yeux pour rêver
Mais plus le goût de la prière.
Skakespeare (Traduction et adaptation Tristan Ranx)
17 janvier 2010
02 janvier 2010
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