Au début des années 1950 l'écrivain Colin Wilson vivait comme un vagabond en dormant dans un sac de couchage à Hampstead Heath puis passait ses journées à lire Rabelais, Blake et le Baghavad Gita au British museum . Il rencontre ceux que l’on appelaient alors les « bohémiens », un cercle de poètes et de poseurs, hâbleurs et violents qui fréquentaient les pubs, ainsi qu’Alfred Reynolds et son organisation « The Bridge ». Dans un livre aujourd’hui introuvable « Memoir of the Fifties », Wilson décrit les soirées avec Reynolds et sa culture « métaphysique d’Europe centrale ». Un extrait du livre de Wilson est cité dans l’article : Literature and Literacy: The Decline of Reading and the Stultification of Student Prose de Thomas F. Bertonneau :
“I felt instantly at home... The shelves were full of Kafka, Mann, and Hesse, although some of the volumes that interested me most were in German or Hungarian. There were books on comparative religion, and a copy of Ballou’s Bible of the World. Another case was full of record albums (all 78’s; these were the days before LPs became popular)—I noticed some Beethoven quartets and the Mahler fourth symphony (the only one I knew). (The Bi-Cameral Critic 259)”
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